Hier soir nous avons dîné dans un restaurant local d'apparence banale. Néanmoins, le gérant était un homme passionné et dévoué. Le repas était excellent : andouillette pour Pépère et truite pour moi et gratin dauphinois à partager.
Ainsi la nuit fut bonne, probablement grâce aux profiteroles que j'ai prises la veille en fin de repas.
Après avoir monté pendant une bonne heure, nous avons rejoint la rivière qui sillonnait la vallée. Celle-ci était glaciale mais d'un bleu magnifique (François se serait sûrement baigné).
Après une petite erreur de chemin nous arrivons à une vallée glacière magnifique. En continuant le long de la rivière, nous nous rendons compte que le chemin le plus rapide est derrière nous. Nous faisons donc demi-tour et allons manger en face du refuge.
Pépère m'ôte presque le pain de la bouche pour que nous partions tandis que je constate tristement l'absence des glaciers.
Dans la descente, Pépère me dit qu'il nous reste 3 heures avant la fermeture de la réception de notre hôtel. Ainsi, nous pressons vivement le pas et nous arrivons en avance et avec un bon mal aux pieds. Mais ce soir c'est restaurant et hôtel.
Mathis
ps : mal partout ! Trop fort Mathis ! Heureusement qu'on a vu des ... marmottes.
Pépère
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