Ce matin, j'ai passé la ligne Maginot
Elle m'a opposé une résistance très passive et moussue.
La première averse de la journée était une averse d'été, franche mais courte. Je me suis réfugié dans un bar, réchauffé d'un grand café, réconforté d'un bon sandwich et j'ai attendu que ça passe. Peu de temps après avoir repris la route, j'ai pris une bonne averse de grêle et une seconde un peu plus tard, accompagnée de méchantes bourrasques. Avec mon poncho flottant au vent, je devais faire un bel épouvantail !
Le camping que j'avais envisagé étant d'évidence hors de portée, j'ai eu recours une nouvelle fois à ma navigatrice qui m'a dégotté un hébergement plus que décent. Elle a aussi trouvé des chambres d'hôtes à 105 euros la nuit, dont le propriétaire reconnaissait que c'était un peu cher pour des pèlerins. L'hébergement est un vrai problème depuis que je suis sur le GR5 français.
Demain : grande lessive au camping municipal de Metz.
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